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Les musées d’art du monde | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Accueil Europe | Envoyer à un amiAjouter aux favoris | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Musées d'art de Berlin Berlin abrite plus de 153 musées. L'île aux Musées est un patrimoine mondial de l'UNESCO et est située dans la partie nord de l'île de la Spree, entre Spree et Kupfergraben. Dès 1841, elle a été désignée comme « un quartier dédié à l'art et aux antiquités », par un décret royal.
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Films
Streetosphère » est une série documentaire de 8 x 26 minutes, produite par La Compagnie des Taxi-Brousse pour les chaines Voyage et TV5. A travers différentes capitales européennes, Tanguy Malibert et Quentin Largouët plongent dans les cultures urbaines. Sans masques ni faux-semblants, ces deux guides vont voir derrière les murs, sous les trottoirs, sur les toits, les artistes qui se réapproprient l’espace urbain comme espace de jeu et de création, et le réinventent. Une approche vivante, humaine, sauvage et insolite, pour redécouvrir Paris, Berlin, Madrid, Lisbonne, Londres, Amsterdam, Prague et Rome. Entre récit de tranches de vie, émotions et découvertes, ils racontent l’expression urbaine, l’art qui s’expose directement. Chaque épisode est une visite guidée hors du commun, durant laquelle se dessine progressivement le portrait subjectif d’une métropole et de l’atmosphère qui la caractérise. Une vision multiple pour tenter de saisir, finalement, un portrait moderne et atypique de la Ville.
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Découvrez les 8 villes de la saison 1
Teaser Saison 1
LORETA JUODKAITE - MARISTELLA
ANUANG'A - ZIYA AZAZI
PABLO MARQUEZ - ALMA VIVA
DUO COURROY & FATHI - ZAD MOULTAKA
art moderne soutient aussi :
Nidaa Abou Mrad - Mezwej - Claudio Bettinelli - Elena Frolova
Naguila - Télamuré - Catherine Peillon - Théodora
Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain | ||||
Le programme artistique du musée trouve son articulation essentielle dans le rapport entre le Nouveau Réalisme européen et l'expression américaine de l'Art d'assemblage et du Pop Art. Cette confrontation relève d'une réalité historique attestant de fortes connivences entre ces deux mouvements. Les collections du musée en rendent compte : les oeuvres des Nouveaux Réalistes attestent de leur parcours depuis le Manifeste Parisien jusqu'à l'exposition bilan en 1970 en Italie. Les artistes du Pop Art new-yorkais sont présents avec des oeuvres significatives. L'image emblématique du musée, dans cette même charnière des années 60, est donnée par la salle Yves Klein qui propose un ensemble exceptionnel d'une vingtaine d'oeuvres majeures de l'artiste, grâce au dépôt à long terme accordé par Rotraut Klein et Daniel Moquay. | ||||
L'Abstraction américaine est représentée par les tenants de la Post Painterly Abstraction avec Kenneth Noland, Jules Olitski, Larry Poons, mais aussi Morris Louis et Frank Stella ; le Minimalisme par les oeuvres de Sol LeWitt, Richard Serra et le dépôt de l'Etat d'une peinture d'Ellsworth Kelly. Les collections témoignent aussi de l'importance du développement des mouvements supports-surfaciens en France, et, plus particulièrement dans la région avec les propositions de Claude Viallat, l'implication de Bernard Pagès, Noël Dolla, Louis Cane et Vincent Bioulès. Sont présents également, Daniel Dezeuze, Marc Devade. Le Groupe 70 prolonge, d'une certaine manière, la trace laissée par Supports/Surfaces. Simon Hantaï, Olivier Mosset, Martin Barré s'inscrivent dans le courant d'une certaine abstraction française. La Figuration est la motivation essentielle des artistes des années 80. A l'instar des fauves allemands ou de la trans-avant-garde italienne, les artistes de la Figuration Libre vont aborder les thèmes liés à la bande dessinée, aux graffitis, aux slogans de la rue, dans une facture ironique et délibérément naïve. La collection du Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain de la ville de Nice est en ligne. Près de 1200 oeuvres qui couvrent les XXe et XXIe siècles à travers 314 artistes sont désormais accessibles grâce à des notices documentaires accompagnées de visuels. Cette base est élaborée en collaboration avec Videomuseum, réseau de musées et d'organismes gérant des collections publiques européennes d'art moderne et contemporain. Plusieurs critères sont disponibles pour effectuer une recherche parmi les oeuvres de la collection : nom d'artiste, année de création, type d'oeuvre, année d'acquisition, mode d'acquisition. Les reproductions en ligne des oeuvres de la collection sont destinées uniquement à la consultation dans un cadre personnel. Leur utilisation professionnelle est soumise à la réglementation en vigueur et au respect des droits d'auteur et des droits d'exploitation des images.Voir la collection en ligne | ||||
Expositions en cours | ||||
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Avec leur entrée dans la période dite post-media ou post-conceptuelle, les artistes se soucient davantage de créer de nouvelles structures narratives pour communiquer leurs histoires, réelles ou imaginaires, comme leurs expériences, petites ou grandes. Le point de départ n’est plus la matière et la technique de la peinture ou de la sculpture traditionnelle, mais un concept, une idée ou une histoire qui sera ensuite matérialisée. Jusqu’à un certain point, on peut même dire que l’originalité du geste artistique est portée par l’originalité des constructions narratives qui peuvent impliquer des matériaux et des organisations spatiales très divers.
Conscient que le monde est fait d' histoires et qu’une biennale doit surtout témoigner de son temps, le commissaire, de la Biennale de Lyon 2013, Gunnar B. Kvaran, propose d’explorer les diverses formes de l’art narratif contemporain international en mettant l’accent sur les œuvres d' artistes qui, non contents de raconter ou de se raconter, s’intéressent à la mise en forme de leurs récits visuels et s’impliquent dans le développement de dispositifs narratifs particuliers comme, par exemple, les Américains Matthew Barney et Tavares Strachan, le Brésilien Paulo Nazareth, la Danoise-norvégienne Anne Lislegaard, le Chinois Yang Zhenzhong, ou encore le Français David Douard.
With the coming of the post-media or post-conceptual age, artists have become more concerned with creating new narrative structures for their stories, whether real or imaginary, and for their experiences, whether major or minor. The starting point is no longer the matter and technique of traditional painting or sculpture, but a concept, an idea or a story which is then given concrete form. Up to a certain point it can even be said that the originality of the artistic act hinges on the originality of narrative constructions marked by great diversity of materials and innovative forms of spatial organization.
Aware of the fact that our world is a world of stories and that a biennial should above all bear witness to its time, Gunnar B. Kvaran, curator of the Biennale de Lyon 2013, is proposing an exploration of contemporary international narrative art in its many forms. The accent is on the works of artists who, rather than settling for straightforward narrative or self-narrative, are committed to structuring their visual accounts and developing specific narrative systems – among others Matthew Barney (US), Tavares Strachan (US), Paulo Nazareth (BR), the Danish-Norwegian Anne Lislegaard (DK-NO), Yang Zhenzhong (CN), David Douard (FR)…
Gunnar B. Kvaran est né à Reykjavik en Islande en 1955. Il obtient un doctorat en histoire de l’art en 1986 à l’Université de Provence, Aixen- Provence. De 1983 à 1989, il dirige le Musée Asmundur Sveinson de sculpture à Reykjavik, de 1989 à 1997, le Musée d’art moderne de Reykjavik, et de 1997 à 2001, le Musée d’art de Bergen en Norvège. Depuis 2001, Gunnar B. Kvaran est directeur du Musée Astrup Fearnley à Oslo. Pendant les années 80, il est critique d’art au DAGBLAOIO Visir daily et assure le commissariat du pavillon islandais de la Biennale de Venise en 1984,1986, 1988 et 1990.
Expositions récentes dont il a été commissaire et qu’il a organisées : « Au nom des artistes, sculpture contemporaine américaine » vue au pavillon de la Biennale de São Paulo en 2011, les expositions d’Ernesto Neto, Nate Lowman, Charles Ray, Richard Prince ainsi que la première rétrospective de Yoko Ono et la rétrospective de Jeff Koons. Quelques expositions collectives : Gunnar B. Kvaran a été co-commissaire de la 2e Biennale de Moscou, il organise « China Power station » (exposition dévolue à la création contemporain Chinoise à Londres et Oslo) et a été co-commissaire de l’exposition « Indian Highway » en 2009.
Gunnar B. Kvaran was born in Reykjavik, Iceland, in 1955. He took out his PhD in history of art in 1986, from the University of Provence, in Aix-en-Provence. From 1983-86 he was director of the Asmundur Sveinsson sculpture museum in Reykjavik; from 1986-97, of the Museum of Modern Art in Reykjavik; and from 1997-2001 of the Museum of Art in Bergen, Norway. He was the curator of the Iceland Pavilion at the Venice Biennial from 1984 to 1990. Since 2001 he has been director of the Astrup Fearnley Museum in Oslo.
Recent exhibitions Gunnar B. Kvaran has curated and organised include In the Name of the Artists: exhibition from the Astrup Fearnley Collection at the São Paulo Biennial in 2011; exhibitions by Ernesto Neto, Nate Lowman, Charles Ray and Richard Prince; Yoko Ono’s and Jeff Koons’ retrospectives… Gunnar B. Kvaran also co-curated the2nd Moscow Biennial; organized China Power Station, an exhibition of Chinese contemporary art held in London and Oslo; and co-curated the tour exhibition Indian Highway in 2009 (Lyon, Rome, London, Beijing, Copenhagen).
Les Prairies
L’esprit des commencements
Le projet artistique a été écrit en réponse à un appel d’offre pour une biennale traitant des relations entre art et entreprise, art et économie. J’ai pris le mot-clé de cette biennale d’art, « entreprise » que j’ai mis à plat : en son sens premier, entreprendre signifie commencer (cf. « Je forme une entreprise […] », Jean-Jacques Rousseau, dans le livre 1 des Confessions, en 1782). Cette attitude a progressivement construit une méthode, elle m’a guidée dans ma façon de travailler avec les artistes et dans mon approche du contexte de la biennale, que j’ai donc située dans un horizon concret. J’ai ainsi regardé la ville de Rennes dans son ensemble, mais surtout telle qu’elle s’est construite depuis les années 60.
J’ai conçu le projet de la biennale à partir d’artistes dont je connaissais bien le travail, élargissant le choix ensuite par la prospection. La thématique de la conquête, qui est coextensive à celle de « prairies », puise à diverses sources et s’explique par plusieurs raisons : poser l’espace comme le lieu d’une pratique, réfléchir à des façons artistiques de travailler (dans) l’espace dont celui de l’exposition lui-même, aborder l’idée d’étendue et celle d’attitude, l’espace étant façonné par des attitudes. Que peut-on entreprendre, en effet, dans un monde hyper construit, perçu et représenté aujourd’hui comme saturé ?
Aujourd'hui l'art ne peu plus être cantonné à une seule discipline...
L'art est à la croisée des chemins... Il est une rencontre tant médiatique (le médium) qu'individuel (les créateurs)... Il ne se cantonne non seulement plus à une seule discipline : la peinture,
la photo, la vidéo, la musique, le dessin, l'écriture etc... Ni dans des espaces confinés et solitaires, mais dans des lieux collectifs, des espaces de rencontres et d'échanges, des studios, des
"elaboratoires"... Depuis le premier ready-made créant le sens par le simple assemblage... s'amorce et se décline à l'infini une nouvelle condition créative où le sens, le
son, l'image s'entremèlent dans une mélopée qui demande toujours plus de rencontres, dans un seul objetif... toujours plus de liberté de créations.
Bobine N°8 a vocation d'être plus qu'un blog, mais un futur site créant un espace de rencontre virtuel, afin que de
réelles alchimies créatrices puissent naitre au delà des frontières géographiques, voir d'espaces de créations ou d'expositions... Un lieu conceptuel !
dans quel but ? Je pourrais entrer dans un débat politique... Une analyse du marché de l'art, et bien d'autres considérations pratiques... Manque d'espaces de créations, dépendance des artistes
vis à vis du marché de l'art etc... Mais en réalité, l'intérêt est d'abord né de la passion de l'art et de la création au sens large !!! Ainsi que de l'émulation que fait naitre la différence,
l'insolite, l'inattendu... Il existe des lieux, il existe des artiste confirmés ou en herbes, il existe des besoins et des envies...
Voilà pourquoi j'intitule cet article, le petit poucet... Car c'est en semant quelques miettes que l'on suit un chemin... Lequel ? peu importe, du moment qu'il provoque le hazard !!!
Je propose ici une autre approche... la création de liens "socio créatifs", a travers des passions à la fois proches et différentes, opposées et complémentaires... pour que la création s'exprime sous toute ses formes, avec les meilleurs moyens possibles mis à sa disposoition...
Un nouveau visage pour la créativité, une nouvelle plateforme convivilale pour les rencontres et les échanges en ligne... autour de projets les plus divers...