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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 16:02

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PROCHAINE EXPOSITION

DAN PERJOVSCHI "A TRANSPARENT RETROSPECTIVE"
du 11 novembre 2012 au 20 janvier 2013
vernissage : samedi 10 novembre à 18h30

L’artiste roumain Dan Perjovschi investit l'architecture des lieux d’exposition avec ses dessins drôles et incisifs, réalisés quotidiennement dans l'esprit du dessin de presse. Il livre un commentaires sur l’histoire en marche, qu’elle soit locale ou internationale. Au CCC, il présente la première rétrospective de son travail.

L'ATELIER DAN PERJOVSCHI

L'artiste invite les 5-15 ans à réaliser leur propre mur de dessins.
SAMEDI 17 NOVEMBRE À 15H (durée 2h)
Sur inscription : ccc.publics@wanadoo.fr

 

 
PROGRAMME 2012-2013

Découvrez les artistes de notre programmation à venir :
PER BARCLAY / DAN PERJOVSCHI / AK DOLVEN / CAMILLE HENROT / ERIC VAN HOVE / MICHEL FRANCOIS ...

 
NEWS

BERTRAND LAMARCHE : en lice pour le Prix Marcel Duchamp 2012

BERTRAND LAMARCHE : en lice pour le Prix Marcel Duchamp 2012. Il fait partie des quatre artistes nommés pour ce prestigieux prix créé par des collectionneurs en 2000.

Résidence Grand Hôtel de Tours / CCC

CAMILLE HENROT présente au Palais de Tokyo une oeuvre produite par l'Agence d'artistes, dans le cadre de la Résidence Grand Hôtel : Triennale d'art contemporain, du 19 avril au 26 aôut.

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 15:37

Galerie Jérôme Poggi

+

115-117 RUE LA FAYETTE

F-75010 PARIS

T. +33 (0)9 5102 5188 begin_of_the_skype_highlighting GRATUIT +33 (0)9 5102 5188 end_of_the_skype_highlighting

OFFICE@GALERIEPOGGI.COM

MARD-SAM

10.00 - 19.00

Bertrand Lamarche
Bertrand Lamarche

Sans titre, 2008

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 12:48

Bugada & Cargnel






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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 09:44
http://www.videomuseum.fr/
COLLECTIONS ACCESSIBLES SUR INTERNET
consultables par le logiciel Navigart

 

 

 


Autres collections consultables en ligne


Portail design Portail design
Centre pompidou Centre Pompidou
Les abattoirs Les Abattoirs
FNAC Fonds national d'art contemporain
FRAC Picardie Frac Picardie
FRAC Ile-de-France Frac Ile-de-France
FRAC Bretagne Frac Bretagne
FRAC Bretagne Frac Languedoc-Roussillon
Saint-Etienne Musée d'art moderne Saint-Etienne Métropole
Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur
Frac Champagne-Ardenne Frac Champagne-Ardenne
Frac Limousin Frac Limousin
Frac Basse-Normandie Frac Basse-Normandie
Musée de Grenoble Musée de Grenoble, collection des dessins XXe siècle
Musée Tomi Ungerer Musée Tomi Ungerer, Centre international de l'Illustration, Strasbourg
Frac Nord-Pas de Calais Frac Nord-Pas de Calais
Les collections du Musée d'art moderne et contemporain de la ville de Strasbourg Musée d'art moderne et contemporain, Strasbourg
Les chefs-d'œvre de la collection du Musée Picasso, Paris Musée Picasso, Paris
Frac Alsace Frac Alsace
CAPC Bordeaux CAPC Bordeaux
Rochechouart Musée de Rochechouart
Lyonmoca Musée d'Art Contemporain de Lyon
MAC/VAL MAC/VAL, Musée d’Art Contemporain du Val-de-Marne
CDAC93 Collection départementale d'art contemporain de Seine-Saint-Denis
Frac AQ Frac Aquitaine
MBA Nantes Musée des Beaux-Arts de Nantes
FRAC PL Frac des Pays de la Loire
MAMAC MAMAC de Nice
IAC Collection Institut d’art contemporain, Rhône-Alpes
Qu'est-ce que vidéomuseum

Videomuseum est un réseau de musées et d’organismes gérant des collections d’art moderne et contemporain (musées nationaux, régionaux, départementaux ou municipaux, Fnac, Frac, fondations) qui se sont regroupés pour développer, en commun, des méthodes et des outils utilisant les nouvelles technologies de traitement de l’information afin de mieux recenser et diffuser la connaissance de leur patrimoine muséographique. Les méthodes et outils utilisés dans ce réseau permettent :

• L’informatisation de la documentation et de la gestion des collections par le logiciel Gcoll (inventaire, photothèque, médias numériques, régie, ateliers, constats d’état, restauration, mouvements des œuvres…).

La diffusion de la connaissance de ces mêmes collections par Internet avec le logiciel Navigart.

fleche Téléchargez le dossier détaillé en PDF

fleche Coordonnées et contact

LISTE DES COLLECTIONS

Videomuseum fédère actuellement 60 collections et recense à ce jour 25·000 artistes, 300·000 œuvres et 200·000 images, consultables dans chaque organisme.
Le site Internet général de chaque organisme est accessible en cliquant sur son nom dans la liste ci-dessous :

Antibes Musée Picasso
Bobigny Collection départementale d'art contemporain de la Seine-Saint-Denis
Bordeaux CAPC musée d'art contemporain
Céret Musée d'art moderne
Dole Musée des Beaux-Arts (collection XXème)
Grenoble Musée de Grenoble
La Roche-sur-Yon Musée
Le Cateau-Cambresis Musée Matisse
Le Cannet Musée Bonnard
Lyon Musée d'art contemporain
Marseille [MAC], musée d’art contemporain
Musée Cantini
Menton Musée Jean Cocteau - Collection S. Wunderman
Nantes Musée des Beaux-Arts
Nice Musée d’art moderne et d’art contemporain
Musée des Beaux-Arts (collection XXe)
Musée nationaux des Alpes-Maritimes : Musée national Marc Chagall, Musée national Fernand Léger, Biot, Musée national Picasso la Guerre et la Paix, Vallauris
Nîmes Carré d'art - Musée d'art contemporain
Paris Centre national des arts plastiques/ Fonds national d'art contemporain
Musée national d'art moderne - Centre Pompidou
Musée national Picasso
Musée de l'Orangerie
Fondation Albert Gleizes
Paris (Ville de) Musée d'art moderne
Musée Bourdelle
Fonds municipal d’art contemporain
Petit Palais - Musée des Beaux-Arts
Musée Zadkine
Rochechouart Musée départemental d’art contemporain
Roubaix La Piscine, Musée d’art et d’industrie André Diligent
Saint-Etienne Musée d'art moderne de Saint-Etienne Métropole
Saint-Paul Fondation Maeght
Strasbourg Musée d'art moderne et contemporain
Musée Tomi Ungerer, Centre international de l'Illustration
Toulouse les Abattoirs
Villeneuve-d'Ascq LaM, Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut
Vitry-sur-Seine Musée d’art contemporain du Val-de-Marne (MacVal)
Hornu (Belgique) MAC's Musée des Arts Contemporains - Site du Grand-Hornu
Fonds régionaux
d’art contemporain
Frac Alsace
Frac Aquitaine
Frac Basse-Normandie
Frac Bourgogne
Frac Bretagne
Frac Champagne-Ardenne
Frac Corse
Frac Franche-Comté
Frac Haute-Normandie
Frac Ile-de-France
Frac Languedoc-Roussillon
Frac Limousin
Frac Lorraine
Frac Nord-Pas-de-Calais
Frac des Pays de la Loire
Frac Picardie
Frac Provence-Alpes-Côte-d'Azur
Frac Réunion
Institut d’art contemporain, Collection Rhône-Alpes
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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 08:48

24/09/2012

RIAM 09 NOw FUTURE

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RIAM09.pngRIAM 09 NOw FUTURE du 16 au 28 octobre 2012 - Marseille.
www.riam.info

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09/08/2012

RIAM SESSION IN BERLIN

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A l'invitation du Festival Club-Transmediale et du réseau ICAS et dans le cadre de la Berlin Music Week, les RIAM présente.123 MRK, Likhan, L'Amateur et DJ Maxximus.

icassuite2.png

Le vendredi 7 septembre 2012 de 21 h à 6 h.
Au MONARCH - Skalitzer Straße 134 10999 Berlin-Kreuzberg
www.ctm-festival.de

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GALLIEN DEJEAN

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Technè présente, le samedi 1er septembre à 17 heures au Studio de la Friche de la Belle de Mai.galliendesjean.pngDans le cadre de la 6è édition d'ART-O-RAMAhttp://art-o-rama.fr/

GALLIEN DEJEAN
Conférence« Why brother to make artwork when you can pack it in ? »
Les activités de BANK et la scène londonienne dans les années 1990.

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18/06/2012

VERONIQUE RIZZO 'Synopsie"

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Visible tous les jours, du coucher du soleil jusqu'à minuit, du 19 mai au 21 juillet 2012.
Diagonales 61, 61 rue jean de Bernardy 13001 Marseille.
((/public/V.Rizzo-Shakti-_0.00.04.png

VERONIQUE RIZZO
"Synopsie"
Installation vidéo

Vernissage vendredi 18 mai 2012 à 20 h 00 dans le cadre du Printemps de l'Art Contemporain #4

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20/04/2012

PAKU PAKU - RIAM Session

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Vendredi 18 mai 2012 de 22h à 04 h à l'Embobineusepakupakusitetechne.pngSoirée after P.A.C.

Tarif: 4€ + 1€ adh.
www.lembobineuse.biz

Attention ! La nouvelle vague d’artistes/musiciens marseillais mettra tous vos sens à contribution ! Entre performances hédonistes et effeuillage burlesque, la jeune scène marseillaise va élever la musique au rang d’art, dans un esprit DIY.

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05/03/2012

SONIC PROTEST Marseille du 9 au 15 avril 2012

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TONY CONRAD (USA)
Mardi 10 avril 2012 à 20 h 00 au Temple Grignan.
Tarif : 9 €
Organisation : GRIM/GMEM/Techné-RIAM

_DP_SONICPROTEST_2012_MARS_6-1.png


Au pays des festivals formatés, Sonic Protest assume sa position d’outsider et bichonne les oreilles exigeantes depuis 2003, déjà…Après sept éditions, qui ont visité de nombreux lieux de Paris et de sa proche banlieue, la version 2012 de cette manifestation décalée se propose d’aller diffuser ailleurs, en complicité avec des structures qui un peu partout en France prennent soin des curieux.

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12/12/2011

AVANT_RIAM - Festival for unlimited art & music

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EN ATTENDANT LA NEUVIEME EDITION DES RIAM QUI AURA LIEU DU 17 AU 27 OCTOBRE 2012
TECHNE PRESENTE

Avant_RIAMbaniereFB.pngwww.riam.info

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21/10/2011

TRYONE : The Cannon - "drive - by shooting"

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Vendredi 25 novembre 2011 à 18 h 30.
Technè inaugure ses nouveaux locaux situés au 61, rue Jean de Bernardy 13001 Marseille.

A cette occasion l'artiste Markus Butkereit aka TRYONE interviendra sur la façade
"Diagonales 61".

drive_by_shooting.png

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11/07/2011

RIAM at "BERLIN MUSIC WEEK"

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A l'invitation du Festival Club-Transmediale et du réseau ICAS et dans le cadre de la Berlin Music Week, les RIAM proposent une soirée de concert. Electronica, noise tribale, expérimentale, trances.
600x195_ICAS_Banner_static.png
Le Vendredi 9 septembre 2011 a la "West Germany",
Skalitzer Straße 133 10999 Berlin Kreuzberg, Germany

Avec: MIOSINE+ JAC BERROCAL, DAVID FENECH et VINCENT EPPLAY+ ANTILLES+ WHY AM I MR. PINK ?

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23/05/2011

François Aubart & Gilles Pourtier

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Conférence de François Aubart à l'occasion de la sortie de "Les Standards observent les formats" de Gilles Pourtier.
vinyle01pourtier.pngDans le cadre de la cinquième édition de Art-O-Rama.

Dimanche 4 septembre 2011 à 17 heures au "Studio" en face de la Cartonnerie de la Friche la Belle de Mai, 41 rue Jobin 13003 Marseille.

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 03:47

Galerie Gourvennec Ogor - Marseille

  • ROB DE OUDE : Tilt
    Project Room : MAXIME TOURATIER : Hegemonic Market
    15 novembre 2012 - 5 janvier 2013
    Galerie Gourvennec Ogor

     

    Rob de Oude: TILT at Galerie Gourvennec Ogor

    Rob de Oude: TILT á Galerie Gourvennec Ogor

    Rob de Oude peint des lignes droites, des dizaines et des dizaines de lignes droites qui achèvent de donner dans leur multitude une impression de lignes courbes. Cet artiste d’origine hollandaise, vivant à Brooklyn, parvient à cet effet grâce à un processus de travail précis et rigoureux. À force de patience et détermination, il superpose les uns après les autres des niveaux de matrices rayées jusqu'à ce que celles-ci commencent à se déformer. Cette « ruse » optique s’apparente aux fondements du mouvement Op Art (Optical Art) dans sa prédisposition aux tendances maximalistes qui visent à confondre la vision par une surcharge graphique.
    Ces réseaux superposés sans fin ont bien sûr des résonances moins abstraites pour notre époque, habituée à une stimulation optique incessante, la connectivité instantanée, et un plaisir visuel disponible à la demande.

    Qu’elles évoquent les toiles d’araignées ou les câbles à fibres optiques d’un réseau de télécommunications, les compositions picturales de Rob de Oude ont un pouvoir séducteur duquel il est difficile de se soustraire. Chaque œuvre se révèle davantage encore elle-même, au fur et à mesure de sa contemplation. Les innombrables « fils » entremêlées se défont graduellement, ce qui permet à des couleurs non perçues initialement d’émerger, tandis que les compositions se mettent à tourner ou à se déplacer alors que l’on explore leur statique. La logique de ces lacis multicolores se dévoile peu à peu au regard.

    Dès que l’on a appréhendé ces aspects relatifs aux lignes et aux couleurs, une sorte d’envoutement, proche de la pratique même de l’artiste lorsqu’il peint, apparaît.
    Son dispositif de production se compose de cadres en bois apposés sur le mur. Ces cadres sont fabriqués sur mesure, et chacun est équipé de règles graduelles et de pinces.
    Cette technique de travail lui permet ainsi de créer une infinie diversité de lignes fines appliquées en de très nombreuses couches les unes après les autres, au-dessus d’un fond de couleurs néons appliquées à l’aérographe. La juxtaposition de toutes ces tonalités forme alors une sorte de maille dont les fils individuels ressortent uniquement à force de patience.

    Pour sa première exposition personnelle à la Galerie Gourvennec Ogor, Rob de Oude montre quatre nouvelles séries de peintures. Deux d’entre elles sont le fruit de développements récents dans sa pratique qui traitent d’inclinaisons, d’où le titre de l’exposition Tilt. Outre ses grands formats picturaux et ses wall painting, il a récemment commencé à faire pivoter l’axe de ses toiles, afin que leurs bords ne soient plus parallèles et perpendiculaires au sol. Ces œuvres inclinées, recouvertes de traits et de teints contrastant, offrent de nouveaux horizons avec leurs alignements d’autant plus séduisants et déséquilibrés. Contrairement à ces peintures aux bleus fluo, verts radioactifs ou jaunes néons, l’artiste a volontairement réduit sa palette de couleurs pour produire sa première série de tableaux blancs, noirs et gris. Ces œuvres s’attardent longuement sur le tissage des fils peints et leurs maintes combinaisons géométriques, évoquant les jeux de perspective de Bridget Riley ou de Victor Vasarely.

    Les quatre séries présentées à la galerie Gourvennec Ogor ont néanmoins en commun cet attribut caractéristique chez de Oude : sa capacité de confondre l’œil pour que celui-ci voit se tordre et finalement se courber des lignes originellement droites. Ainsi, ses réseaux de fils peints deviennent des filets dans lesquels l’artiste nous piège.
    Par ces jeux d’optique, le regard du spectateur finit ainsi par se laisser aller dans une posture volontairement non contrôlée. Chacun peut succomber au désir contemplatif et l’œuvre de Rob de Oude, sa technique même, entraine le flâneur dans la divagation d’un labyrinthe infini, lui offrant s’il veut les saisir des visions inattendues.

    Rob de Oude est né aux Pays-Bas et a fait ses études à la Hoge School voor de Kunsten d’Amsterdam et au SUNY Purchase à New York.
    Il vit à Brooklyn et travaille dans le Queens.
    Rob de Oude est aussi co-directeur du Parallel Art Space.

    —————————————————————

    Project Room : MAXIME TOURATIER

    HEGEMONIC MARKET
    Par Anouk Le Bourdiec

    Comme toujours dans le travail de Maxime Touratier, la série « Hegemonic Market » s’appréhende comme un répertoire de tensions interprétatives à double enjeu : perte de repères architecturaux, de repères géographiques,
    pertes d’identifications … Où sommes nous ? Que regardons nous? … L’image se structure autour d’une dualité du poétique à travers des éléments visuels ambigus dans le paysage et la composition d’un objet, d’un ensemble, non identifiable de prime abord, de l’ordre du semi abstrait. Le doute survient quand apparait, à travers ces formes, l’impression d’occupation du territoire ; le basculement iconique du cadrage révèle des impressions de formes agressives ; une sensation militaire s’empare de nous.

    Un enchevêtrement de poutres métalliques, une barre orange traversant l’espace à l’instar d’un barrage de sécurité, une structure métallique composée de grilles organisées de façon carcérale, un Aigle métallique orné de paraboles …

    L’axe de lecture de « Hegemonic Market » est alors offert dans un état des lieux colorimétrique. Nous sommes immergés dans les univers construits du paysage urbain moyen et de la Communication. Ces fragments architecturaux peuvent être dès lors appréhendés dans leur ensemble. Et ce sont trouble et malaise qui se définissent alors face à la contemplation ... Tout n’est que logos de grands groupes commerciaux ; ces centres commerciaux connus comme représentants d’une culture de consommation de masse et grand public. Fragmentés, recadrés, ces images de la culture populaire s’offrent soudainement à notre mémoire. Et l’image se crée dans son ensemble. L’aigle qui nous a emporté si loin dans notre interprétation somme toute imaginaire, poussez en ce qui me concerne aux confins de l’ex URSS, est un détail du logo de Carrefour, âprement cadré par Maxime Touratier.

    La question est récurrente et constamment retravaillée, offrant des découvertes d’interprétations photographiques propres à l’oeuvre de Maxime. Quand l’objet, le sujet, le détail, le stéréotype de la consommation d’une
    culture de masse devient oeuvre par le biais de l’artiste. Il nous amène vers cette confrontation à la fois douce et amère du regard, face à la pensée évidente, ici d’une culture qui génère ses propres esthétiques ; mettant en scène à travers ses oeuvres photographiques la scène
    de bataille ; une militarisation de l’économie de marché. L’âpreté d’une guerre économique est alors révélée par le basculement de l’image et cette série désenchante cette invasion communicationnelle par un cadrage acéré. Telles les lances acérées de la Bataille de San Romano d’Ucello.

    L’esthétique standardisée des panneaux signalétiques induit la double lecture de la notion de matérialité de l’objet et de son appropriation.
    Il y apparait cette stabilisation de la communauté du quotidien à travers ces logos géants et l’émergence éphémère de notre impression cinétique d’une culture consumériste qui génère ses propres esthétiques.

    • ¬ Communiqué de presse pdf
  • ¬ "Vue de l'exposition Rob de Oude - Tilt 15 novembre 2012 - 5 janvier 2013 Galerie
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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 03:21
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Du 20/11/2012 au 12/12/2012 | Vernissage le : 20/11/2012 à 19h
Galerie Meyer

L’infortune continue
ou
L’expression des traits entrelacés

Alors on peut se mettre devant un motif, un sujet.
Prendre ses pinceaux, ses crayons, ses fusains, ses tubes et ses pots et représenter, reproduire, c’est-à-dire peindre ou dessiner. On trouve dans cette façon d’être, de sacrés bons artistes comme Edward Hopper, Lucian Freud ou Francis Bacon pour ne citer que les trois qui me viennent immédiatement à l’esprit…
Voilà, c’est comme ça depuis que les artistes se sont intéressés à la nature, aux idoles et à toutes sortes de dieux y compris celui des monothéistes qui a eu une ribambelle de peintres, architectes et sculpteurs à son service.

Et puis il y a les autres qui ne savent pas au moment où ça commence ce que ça va être, ce que ça risque d’être : une formidable réussite ou un incroyable échec !
Alors ça jette des tâches au sol ou sur les murs comme Jackson Pollock, ça cherche des formes dans les froissages et froissements des papiers imprimés comme Ladislav Novak, ça écrit dans une calligraphie illisible qui va pouvoir pourtant être lu comme dans les logogrammes de Christian Dotremont…

Ainsi travaille David Thelim, ça part de rien, d’un embrouillis de traits au stylo à bille tantôt solitaire (le stylo) tantôt en couple ou accouplé à plus de deux.
Au début, il s’embrouille et il nous embrouille…
Ce devrait être des gribouillages, des gribouillis et puis « il » ou « elle » ou « eux » vont apparaître.
La spiritualité entre dans le dessin…
Des esprits vont se concrétiser dans le dessin.
Comment, par exemple, cet indien vivant puis mort au confluent de l’Orénoque et de l’Amazone s’est-il, ainsi, installé dans l’atelier de David Thelim sur sa feuille ?
Comment ces visages apparaissent, alors que le personnage dont ce serait, ce sera le portrait est absent ? n’est jamais apparu ? n’a jamais été rencontré ?
Et il est là ! là, sur le papier, aucun doute, c’est lui, c’est elle, ce sont eux.
Ainsi, ces êtres apparaissent comme la Pythie donnait réponse aux questions posées.
À sa façon.
La Pythie arrivait pour monter sur son trépied, auparavant, elle s’était lavée, elle avait jeûné, elle avait bu l’eau de la source, mâché le laurier, médité, elle avait accompli toutes les cérémonies, alors, alors seulement, elle était possédée, elle criait et prononçait l’oracle, c’est-à-dire donnait la réponse.
(Je pense à elle, car c’est le même processus qu’utilise David Thelim dans son travail.)
D’abord la Pythie lance son cri incohérent transformé par des mots grecs juxtaposés incompréhensibles par des traducteurs, puis ces mots agencés autrement, recomposés, reconjugués, donnaient enfin réponse, celle des prophètes…
Ainsi la réponse apparaissait à partir du cri insensé.

Les schémas s’inversent, ailleurs le cerveau a un projet, un but, et commande la main qui essaie d’obéir au mieux (pour la Pythie : la langue, le palais et la voix) aux ordres expédiés ; là, (pour David Thelim) la main s’envole d’elle-même, dessine d’elle-même et la forme apparaît.
Sur les indications de qui ? de quoi ? de la main ? d’un possible ailleurs ?

Te voilà ainsi, maintenant, toi spectateur, seul, face aux images,
Et ta question, ton interrogation tournoie de tes yeux à ta cervelle, tu n’es plus face à une représentation mais, au sens multiple du terme, à une création.
Et là se pose ton problème : cette création est bien de David Thelim, de David Thelim, seul, ou associé à qui ? à quoi ?
Qui le possède au moment où il trace ?
Qui le possède au moment où il écrit ?
Puisque ses outils sont ceux de l’écriture.
Qui les possède au moment où il dessine ?
Puisqu’il s’agit de dessin et pas de calligraphie.

Alors, nous voilà confronté à une autre source littéraire : l’écriture automatique.
Nous voilà, une fois encore au contact de Freud pas Lucian, cette fois, mais le vieux Sigmund, l’idole au crépuscule, l’affabulateur Sigmund Freud selon Michel Onfray !
Il a raison, mais là, dans cette chronique, on s’en moque.
Sigmund ne me sert qu’à dire comment fonctionne l’écriture automatique, l’une des pistes parmi mille autres pour comprendre le travail de David Thelim.
Ce n’est qu’une méthode inventée par André Breton. Une façon, selon lui, de laisser s’exprimer l’inconscient.
Il faut écrire le plus rapidement possible, hors contrôle, hors raison, hors désir, hors projet, hors contexte, hors tout : lâcher tout.
Et, après tout ce travail des Champs magnétiques à ses derniers textes de l’Art magique, André Breton dira :
« L’histoire de l’écriture automatique dans le surréalisme est celle d’une infortune continue »
Cette « infortune continue » sera pourtant reprise par un autre surréaliste, et pas des moindres : Max Ernst et ces frottages, préludes aux arrachages de César aux affiches lacérées de François Dufrêne ou de Raymond Hains.
Mais c’est une si vieille histoire : déjà dans ses carnets Leonardo da Vinci notait et conseillait : « pour exciter l’esprit à diverses inventions, de contempler les murs souillés de taches informes » !
Et hui, sous une toute autre forme, nous retrouvons la forme, l’identité, la personnalité, « il », « elle », « eux » sur et dans les entrelacs de David Thelim.
Entrelacs ? oui Entrelacs, ça fonctionne, mais il faudrait trouver un terme pour qualifier cet entrelacs qui donne naissance à une figure.
Car il y a de la chrysalide dans cette approche…
Il y a de la métamorphose…
Il y a de la prestidigitation, voire de la magie, dans cette transformation.
Alors réseau ? comme le rhizome de Gilles Deleuze ?
Lacis ? chaîne ? un ensemble de nœuds ?
Nœud, c’est un mot riche, dense quant on le prend dans tous ses sens.
Des entrecroisements ovales et ronds ?
Entre croiser, entrecroiser lui, l’artiste et son sujet, entrecroiser les sujets entre eux.
Là, encore, on se régale de sens.
Un entrelacement ?
Voilà, c’est ça, son travail : entrelacer
Entrelacer pour retrouver dans cet entrelacement la personne entrelacée par l’artiste ou les personnes qui s’entrelacent : ses personnages.
Retrouver leur forme, leur visage, leur corps, leur expression…
Et finalement leur origine.

Julien Blaine
avril 2010

Galerie Meyer
43, rue Fort Notre Dame
13001 Marseille
04.91.33.95.01
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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 02:04

Expositions

Du 14 septembre au 8 décembre 2012.
Dans le cadre des Ateliers de Rennes – Biennale d’art contemporain.









Marion Verboom, (au premier plan) Charte, 2012, plâtre teinté, 40 × 40 cm, longueur variable. (Au second plan) Mondmilchs, 2012, mortier, 6 éléments de 280 × 26 × 15 cm, dimensions variables. Production 40mcube. Photo : Nicolas Brasseur.

Du 12 mai au 30 juin 2012.











Naïs Calmettes & Rémi Dupeyrat, Gisement et Extraction, 2012. Vue de l’exposition. Production 40mcube. Photo : Patrice Goasduff.

Du 4 février au 21 avril 2012.











Antoine Dorotte, Analnathrach, 2012. Production 40mcube. Courtesy galerie ACDC. Photo : Patrice Goasduff.

Du 19 novembre au 17 décembre 2011.

Antoine Dorotte, Angélique Lecaille, Briac Leprêtre, Bevis Martin & Charlie Youle, Benoît-Marie Moriceau, Armand Morin, Samir Mougas, Julien Nédélec, Blaise Parmentier, Ernesto Sartori, Yann Sérandour, Mélanie Vincent.














RN 137, vue de l’exposition. Commissariat 40mcube / Zoogalerie. Photo : André Morin.

Du 17 septembre au 12 novembre 2011.












Yann Gerstberger, Stranger by Green, 2011. Production 40mcube. Photo : Patrice Goasduff.

Du 19 novembre au 17 décembre 2011.

Antoine Dorotte, Angélique Lecaille, Briac Leprêtre, Bevis Martin & Charlie Youle, Benoît-Marie Moriceau, Armand Morin, Samir Mougas, Julien Nédélec, Blaise Parmentier, Ernesto Sartori, Yann Sérandour, Mélanie Vincent.










Au premier plan : Antoine Dorotte, Amalgamma, 2010. Aquatinte sur zinc et cuivre. Courtesy galerie ACDC. Au second plan : Angélique Lecaille, The Night Travelers, 2011. Mine de plmb sur papier Montval. 140 × 170 cm chaque. Photo : André Morin.

Du 23 avril au 16 juillet 2011.












Sarah Fauguet et David Cousinard, Carlingue, 2011. Production 40mcube. Photo : Patrice Goasduff.

Du 21 janvier au 19 mars 2011.











Ida Tursic & Wilfried Mille, Smears, 2011. Courtesy galerie Almine Rech / galerie Pietro Sparta. Photo : Patrice Goasduff.

Du 24 septembre au 18 décembre 2010.













Stéphanie Cherpin, Come On Over Here, Slow It Down, 2010. Production 40mcube. Courtesy galerie Cortex Athletico. Photo : André Morin.

Du 30 avril au 17 juillet 2010.
Dans le cadre des Ateliers de Rennes – Biennale d’art contemporain.











Emmanuelle Lainé, INGENIUM, 2010. Vue de l’exposition. Production 40mcube. En partenariat avec les Ateliers de Rennes – Biennale d’art contemporain. Courtesy galerie Triple V. Photo : André Morin.

Du 23 janvier au 20 mars 2010.
Guillaume Constantin, Vincent Ganivet, Laurent Perbos, Guillaume Poulain, Aurore Valade.












Vincent Ganivet, Concrete Stones, 2010. Photo : Patrice Goasduff.

Du 17 octobre au 19 décembre 2009.












Lina Jabbour, L’enclos, 2009. Production 40mcube. Photo : Camille Foucher.

Du 25 avril au 18 juillet 2009.









Samir Mougas, Un chaînon manquant, 2009. Production 40mcube. Courtesy galerie ACDC. Photo : Patrice Goasduff.

Du 4 octobre au 20 décembre 2008.













Florian & Michaël Quistrebert, Diablotin fuyant, 2008. Production 40mcube. Photo : Jean Depagne.

Exposition du 30 avril au 19 juillet 2008.
Universalisme : Renaud Auguste-Dormeuil, Dionis Escorsa, Michel Guillet, Amala Hély et Guillaume Robert, Nicolas Milhé.














Nicolas Milhé, Meurtrière, 2008. Production 40mcube et Zebra 3. Photo : Marc Domage.

Du 1er février au 29 mars 2008.
Particularismes : Virginie Barré, Joost Conijn, Dora Garcia, Briac Leprêtre, Damien Mazières, Nicolas Milhé, Yann Sérandour, Joana Vasconcelos.









(Au premier plan) Joana Vasconcelos, A ilha dos amores, 2006. Courtesy Mario Mauroner. (Au second plan) Virginie Barré, Bear’s belly, Yenin Guy & Medecine Crow, 2008. Production 40mcube. Photo : Patrice Goasduff.












Benoît-Marie Moriceau, Psycho, 2007. Production 40mcube. Photo : Laurent Grivet.

Du 16 mai au 13 juillet 2007.











Patrice Gaillard et Claude, Optrium, 2007. Production 40mcube. Courtesy galerie Lœvenbruck. Photo : Patrice Goasduff.

Du 30 mars au 26 mai 2007.












Sylvie Réno, Des pots, 2007. Production 40mcube. Photo : Patrice Goasduff.

Du 12 janvier au 3 mars 2007.
Nathalie Djurberg, Rodolphe Huguet, Édouard Levé, Steven Le Priol.













Rodolphe Huguet, Les culs de la forêt, 2004-2006. Photo : Patrice Goasduff.

Le travail de Briac Leprêtre prend deux directions, la sculpture et l’aquarelle. Ces deux orientations sont liées entre elles puisqu’il a commencé à faire des sculptures/mobilier pour accompagner ses aquarelles.

Du 30 septembre au 16 décembre 2006.
Hubert Duprat, Jon Mikel Euba, Rodolphe Huguet, Angélique Lecaille, Delphine Lecamp, NG.















Angélique Lecaille, Touch The Sky, 2006. Production : 40mcube. Photo : Patrice Goasduff.

Du 3 juin 2006 au 29 juillet 2006.
Virginie Barré, Julien Celdran, Philippe Parreno, Sébastien Vonier.












Virginie Barré, Warriors Apsaroke et projet de maison Farkas Molnar, 1923, 2006. Photo : Patrice Goasduff.

Du 10 mars au 29 avril 2006.











Delphine Lecamp, Even Cow Girls Get The Blues, 2006. Production 40mcube. Métal doux. Photo : Patrice Goasduff.

Les communications des artistes, commissaires d’exposition, critiques d’art, philosophes, et architectes invités multiplieront les points de vue et les cas de figures : interventions d’artistes détournant les règles établies dans l’espace public ; commande publique et 1% culturel ; architectures d’artistes…

Du 30 septembre au 3 décembre 2005.














Briac Leprêtre, Classic & Smart, 2005. Production 40mcube. Photo : Patrice Goasduff.

Du 8 avril au 15 mai 2005.
Atelier mobile, Simona Denicolai & Ivo Provoost, Daniel Dewar & Grégory Gicquel, Le Gentil Garçon, Nicolas Milhé, Benoît-Marie Moriceau, Bénédicte Olivier.









Daniel Dewar et Grégory Gicquel, Aruba 49cc, 2005. Production 40mcube. Courtesy galerie Lœvenbruck. Photo : Cyrille Guitard.

Du 3 au 28 mai 2005.













Ateliermobile, 2005.

Du 7 au 26 avril 2005.








Nicolas Milhé, Sans titre, 2005, béton, 600 × 300 × 250 cm. Production 40mcube. Collection du CNAP-Ministère de la Culture et de la Communication. Inv. FNAC : 09-281. Courtesy galerie Samy Abraham et galerie Mélanie Rio. Photo : Patrice Goasduff.

Du 8 avril au 10 mai 2005.











Simon Denicolai & Ivo Proovost, “Comment faire tenir une forme colorée dans l’espace ?, 2005. Production 40mcube. Photo : Ivo Provoost.

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 02:01
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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 09:58


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  • : Bobine N°8 Nouvelle Version
  • : Ce site est destiné à la promotion de la créativité indépendante...
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LE PETIT POUCET...



Aujourd'hui l'art ne peu plus être cantonné à une seule discipline...
L'art est à la croisée des chemins... Il est une rencontre tant médiatique (le médium) qu'individuel (les créateurs)... Il ne se cantonne non seulement plus à une seule discipline : la peinture, la photo, la vidéo, la musique, le dessin, l'écriture etc... Ni dans des espaces confinés et solitaires, mais dans des lieux collectifs, des espaces de rencontres et d'échanges, des studios, des "elaboratoires"...   Depuis  le premier ready-made créant le sens par le simple assemblage...  s'amorce et se décline à l'infini une nouvelle condition créative où le sens, le son, l'image s'entremèlent dans une mélopée qui demande toujours plus de rencontres, dans un seul objetif... toujours plus de liberté de créations.

Bobine N°8 a vocation d'être plus qu'un blog, mais un futur site créant un espace de rencontre virtuel, afin que de réelles alchimies créatrices puissent naitre au delà des frontières géographiques, voir d'espaces de créations ou d'expositions... Un lieu conceptuel !

dans quel but ? Je pourrais entrer dans un débat politique... Une analyse du marché de l'art, et bien d'autres considérations pratiques... Manque d'espaces de créations, dépendance des artistes vis à vis du marché de l'art etc... Mais en réalité, l'intérêt est d'abord né de la passion de l'art et de la création au sens large !!! Ainsi que de l'émulation que fait naitre la différence, l'insolite, l'inattendu... Il existe des lieux, il existe des artiste confirmés ou en herbes, il existe des besoins et des envies...

Voilà pourquoi j'intitule cet article, le petit poucet... Car c'est en semant quelques miettes que l'on suit un chemin... Lequel ? peu importe, du moment qu'il provoque le hazard !!!

 

 

lafleurdetheblanc@gmail.com

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ART'cité est un blog pour rendez vous des artistes... théâtre, cinéma, art plastique, graphisme, dessin, peinture, vidéo, photo, couture,scénarisation, texte, poésie, conte, danse ... tout est bon pour l'expression de la pensée et du corps...

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Je propose ici une autre approche... la création de liens "socio créatifs", a travers des passions à la fois proches et différentes, opposées et complémentaires... pour que la création s'exprime sous toute ses formes, avec les meilleurs moyens possibles mis à sa disposoition...

 

Un nouveau visage pour la créativité, une nouvelle plateforme convivilale pour les rencontres et les échanges en ligne... autour de projets les plus divers...

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